Les opinions émises dans cette rubrique n’engagent que leurs auteurs et ne reflètent pas une position commune de l’ensemble des membres de la FAERE.
Il ne fallait pas sacrifier l’environnement à la sortie de crise – Mireille Chiroleu-Assouline
La fiscalité écologique : l’exemple des pays scandinaves – Mireille Chiroleu-Assouline
Taxe carbone: Dans les pays nordiques, «transparence et pédagogie» au cœur du succès de la fiscalité écologique – Mireille Chiroleu-Assouline
La transition écologique va nécessiter un courage politique considérable – Christian Gollier
En débat : la hausse des taxes est-elle indispensable pour lutter contre la pollution ? – Pour – Mireille Chiroleu-Assouline
Politiques environnementales et sociales sont encore pensées séparément – Interview de Jean-Charles Hourcade
Les Français doivent accepter l’idée d’un prix à la pompe de plus en plus élevé – Gilles Lafforgue
Ce n’est pas la taxe carbone qu’il faut blâmer, plutôt l’usage de son revenu – Thomas Douenne
Les personnes qui instrumentalisent les pauvres n’en ont rien à faire de la pauvreté – Vincent Martinet et Gilles Rotillon
Il faut avancer sur deux jambes, fiscalité sur l’énergie et “finance climat” – Emmanuel Combet et Jean-Charles Hourcade
Comment rendre juste la taxe carbone et minimiser ses impacts sociaux ? – Audrey Berry
Le prix élevé de l’essence modifie les habitudes de consommation et le choix des constructeurs à long terme – Christian Gollier
Débattons sur l’utilisation des revenus issus de la taxation sur les carburants – Damien Dussaux et Paul-Hervé Tamokoue Kamga
La fiscalité écologique sert de bouc émissaire à un ensemble de mécontentements – Interview de Mireille Chiroleu-Assouline
Il ne faut pas blâmer la fiscalité écologique – Mireille Chiroleu-Assouline
Résumé
En France, les subventions à l’efficacité énergétique sont nombreuses et variées. La plupart sont de type ad valorem – proportionnelles au prix du bien ou service ciblé, comme le Crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE), la TVA à taux réduit pour la rénovation thermique des bâtiments, l’éco- prêt à taux zéro (éco-PTZ) et les aides de l’Agence nationale pour l’amélioration de l’habitat (ANAH). Nous proposons plusieurs arguments en faveur d’une évolution vers un régime de subventions « spécifiques » c’est-à-dire indépendantes du prix de vente. Par rapport à ces dernières, les subventions ad valorem présentent quatre inconvénients : elles génèrent plus de dépenses publiques, distordent la qualité des biens, profitent davantage aux ménages les plus aisés et incitent davantage à la fraude.
Pour un accord climatique ambitieux et crédible à Paris – Chaire Economie du Climat et Toulouse School of Economics
Chronique d’un échec annoncé : Mythe et réalité d’un marché mondial du carbone – David Martimort et Wilfried Sand-Zantman
Pour un accord climatique ambitieux et crédible à Paris : une réponse à l’appel – Etienne Billette de Villemeur et Justin Leroux
Un prix mondial unique pour le carbone ? Une fausse bonne idée – Olivier Godard
La tonne de carbone a-t-elle une valeur ? – Gilles Rotillon
Résumé
Afin d’établir des ordres de grandeur pour l’agriculture française, nous proposons une brève synthèse de quelques études portant sur les pollutions d’origine agricole. Sont pris en compte la pollution de l’eau, la pollution de l’air, les émissions de gaz à effet de serre, la pollution du sol, l’impact sur la santé humaine et les impacts sur la biodiversité et les paysages. Après avoir homogénéisé et retenu les estimations monétaires les plus pertinentes, nous aboutissons à un intervalle de 15 à 64 milliards d’euros par an. Ces chiffres sont loin d’être négligeables sachant que la production agricole est de l’ordre de 68 milliards d’euros et les subventions à l’agriculture et aux produits agricoles de 11 milliards d’euros.
(Juin 2015)
(Septembre 2014)
Résumé
Faut-il exploiter les gaz de schistes ? On discute les arguments pour et contre et on plaide pour un débat d’orientation entre la sortie de l’économie carbonée et le statu quo.
(Mars 2014)